The recent G20 Hangzhou Summit is yet another example of the difficulties the G20 has to move ahead at cruising speed. Changes in the G20 process might help to increase its impact.
Billet du 18 octobre 2016 Par Cecilia Bellora, Jean Fouré
L’accord de libre échange entre l’Union Européenne (UE) et le Canada, le CETA, devrait être signé le 27 octobre prochain. Voici un exposé du contenu de cet accord de deuxième génération, qui n'est pas le premier dans son genre, mais le premier entre l'UE et l’un de ses principaux partenaires commerciaux.
The IMF’s latest World Economic Outlook points to weak demand and investment as the main factor behind the world trade slowdown. I argue that this conclusion is overblown and that the high-quality underlying work falls well short of explaining the slow trade puzzle.
« L’euro n’a pas apporté la prospérité promise, mais la division et la divergence » a récemment affirmé J. Stiglitz. Comment l’intégration monétaire aurait-elle accentué la divergence entre ses pays membres ? Une récente étude du CEPII mesure l’effet de l’intégration monétaire sur la divergence des prix entre pays, en s’intéressant aux déséquilibres sectoriels.
Une fois encore, les échanges mondiaux de marchandises ont crû moins vite que ne l’avait pronostiqué l’OMC. Et même le niveau qu’elle prévoit désormais pour 2016 pourrait bien être encore surestimé.
L’UE a ouvert le processus de négociation d’un accord de libre échange avec l’Australie et la Nouvelle Zélande. Cet accord permettrait de compenser les effets négatifs que pourrait avoir pour l’Europe l’accord Trans-Pacifique (TPP), en cours de ratification.
L’Union européenne (UE) a lancé fin 2015 des négociations avec l’Australie et la Nouvelle-Zélande, deux des rares membres de l’OMC à qui elle n’accorde pas un accès préférentiel à son marché. Quels en sont les enjeux pour l’Europe ?
Le Brésil doit réaliser un ajustement budgétaire d’autant plus difficile que le gouvernement doit jongler entre pressions de groupes privilégiés et minima de dépenses publiques dans l’éducation, la santé... Cet ajustement pourrait néanmoins s’effectuer sans pénaliser les services publics si ces derniers étaient produits plus efficacement
Le FMI vient de réviser à la baisse ses prévisions de croissance, suivant le pessimisme largement exprimé après le référendum sur le Brexit. Paul Krugman s’est distingué quant à lui en ne voyant aucune raison majeure de s’inquiéter dans l’immédiat. Cette opposition traduit deux visons des conséquences à court terme de l’incertitude.